Dimanche 14 octobre : MUSÉE DE CHAUMONT
 
« ça l’affiche mal ! »
 
Pascal et Christelle nous avait concocté un parcours très champêtre ce dimanche 14 octobre :
vignes, collines, bois, petits villages, que de bonheur de rouler entre potes…
Ils ont eu bien du mérite car la météo nationale, sur n’importe quelles chaînes télé que l’on pouvait
suivre nous prédisait un week-end catastrophique.
En effet, ça l’a été, mais pour hélas une autre région qui m’est chère : le Carcassonnais…
Ils s’étaient gourés de 800 kms, une « goutte d’eau » sur la carte du monde !
 
Il n’empêche que l’on a été tous pareils et que notre crainte d’une journée de pluie nous a
empêché de nous inscrire. C’est en effet seulement 6 personnes qui avaient répondu le jeudi soir avant
le week-end.
Mais par un prompt renfort, nous nous vîmes 14 en arrivant au port ! Euh, non au Leclerc de
Rosières. 12 motos et une voiture (toujours aussi pratique pour mettre les casques !) ce qui a bien
remonté le moral de nos deux organisateurs. Un petit aparté : en effet not’ cher président Urbain,
malade, devait suivre en voiture avec Marie-Christine et Jacqueline. Mais le matin au moment de partir,
les pleurs, les cris, les supplications de sa maîtresse, euh de sa moto l’ont fait craquer et nous avons eu
l’heureuse surprise de le voir arriver chevauchant son monstre de métal qui frétillait d’aise… L’histoire
nous dira si ça lui a guéri de sa crève ? Une autre remarque : que des motos en solo, dont 4 filles !
Marie-Christine, tout à coup lucide : « Ah c’est pour ça que ce matin il m’a dit allez dégage prend la
voiture ! ». Mais ça ne nous regarde pas !!!
 
Revenons au trajet, départ, le soleil est de rigueur, seul un vent un peu trop impétueux nous a
gêné tout au long du trajet. Nous voilà donc parti pour l’arrêt café à Cunfin. Hubert et Colette
auparavant nous ont fait la surprise de nous prendre en photo et de nous filmer au point de vue du
plateau de Blu. Ils nous rejoignent ensuite pour prendre le café avec nous au « L’Andion » bar bien
connu du club où l’accueil du patron est toujours aussi chaleureux. Quelle chance pour Cunfin d’avoir
un tel lieu.
Bon, ce n’est pas tout ça, mais on a un musée à visiter, mais auparavant un morceau de bœuf à
déguster. C’est parti pour la deuxième partie de la matinée, jolie petite route, villages de pierre cernés
de vignes qui rougeoient, puis la Haute-Marne plus forestière, mais gaffe aux chasseurs… un bon
moment de balade !
Arrivée à Chaumont, lieu de naissance de Jacqueline où une plaque est apposée sur le mur de sa
maison natale ! Non je déconne, ils ne s’en vantent pas ! On est les premiers à Buffalo grill où Pascal et
Christelle ont réservé une table, bon appétit… Merci vous aussi…  comme toujours un bon moment de
détente, de discussions et de bonne humeur.
 
Il serait bien maintenant d’aller se « culturer » au fameux musée de l’affiche. Garés devant les
anciens silos, nous nous dirigeons impatients vers un nouveau bâtiment restauré qui fut l’ancienne
Banque de France, quand le moderne se mélange à l’ancien, ce n’est pas trop mal… mais vide, vide…
Accueilli par une charmante demoiselle qui vous informe que l’entrée est gratuite (jusque là tout
va bien !) mais qu’en réalité cette « Maison du signe » Centre national du graphisme n’est pas en fait un
musée mais un lieu d’expos temporaires, et d’ailleurs une est en train de s’installer et qu’il nous faudrait
revenir plutôt en novembre ! Pascal et Christelle, défaits, lui indiquent qu’ils ont pourtant téléphoné
avant et que sur le site ce n’est pas clair du tout. Bref c’est l’arnaque chaumontaise…
Coup de chance, ce jour là c’est la foire commerciale au centre-ville de Chaumont doublée
visiblement d’une sorte de fête associative.
 
Voilà donc nos 14 aventuriers aubois investissant le centre-ville de Chaumont, intéressant au
demeurant avec ses rues piétonnes, ses vieilles maisons, ses restes de remparts et son magnifique point
de vue. Jacqueline nous abreuve de ses anecdotes de jeunesse, au risque de choquer vos chastes
oreilles, je préfère les taire…
Chacun baguenaude donc et vers 15h30 nous retrouvons aves joie nos chères montures qui
sagement attendaient leurs maîtresses et maîtres pour un retour aussi bucolique qu’à l’aller. En effet le
soleil est toujours là, seul le vent continue de quelquefois nous surprendre principalement (comme le
loup) à la sortie du bois…
 
On retrouve et apprécie notre belle campagne car c’est maintenant acté on évite le plus possible
nos « chères » trop « chères » nationales, pompes à fric et stressantes qui, il faut bien l’avouer, nous
gâchent un peu le plaisir…
Un petit passage par l’abbaye de Clairvaux, les vignes de Bligny, d’Urville, la vallée de la Seine et
enfin Clérey pour l’ « au revoir ».
 
Un grand merci pour Pascal et Christelle et chacun de les réconforter, ce fut une bien belle journée
de près de 240 kms, tout de même ! Et puis, entre nous, être un petit groupe d’une douzaine de motos,
ce n’est pas mal non plus !
Le mot de la fin à Christelle : « On n’a pas fini d’en entendre parler de ce musée de l’affiche ! ». Eh
les amis, la prochaine sortie que vous organisez, et si vous nous emmeniez découvrir le musée de
l’arnaque à Trifouilly-les-Oies !
 
Jacky
Weekend du 1 et 2 Septembre : L'alsace
 

Encore une fois ce sont les couples Lejeune-Lorin qui se sont chargés de nous
emmener pendant deux jours, cette année en Alsace. Le thème est de rendre visite aux caves Weck, de dynamiques vignerons amis du club depuis de nombreuses années.
 
1 voiture, 18 motos, soit 26 personnes qui décollent de St Parres-aux-Tertres samedi à 7h par une fraîcheur matinale de 12°. Mais en allant vers la Haute-Marne par Bar-sur-Aube et Chaumont, un brouillard tenace fait chuter le thermomètre à 8°, ceux qui sont partis en blouson d'été au vu du beau temps annoncé, arrivent au café-croissant de Bourbonne frigorifiés. Heureusement l'accueil du bar «le Régina» réchauffe chaque participant. Au redécollage les brumes se sont levées, laissant place à un généreux soleil éclairant à l'horizon la ligne bleue des Vosges. La route se fait plus plaisante, nous traversons Plombières-les-Bains avec son prestige impérial et remontons le cours de la Vologne, avec le tristement célèbre village de Lépanges.
Enfin St Dié est en vue où nous déjeunons à la cafétéria Cora.
 
L'après-midi nous attend un morceau de choix avec la visite du château du HautKoenisgbourg à 800 m d'altitude. Erigé au 12è siècle puis remanié au fil des ans, il est offert en 1899 à Guillaume II qui par passion du moyen âge lui redonne la majesté d'une forteresse Alsacienne. Un peu frustrés par la circulation importante lors de la montée, nous profitons des belles routes qui descendent sur Colmar pour enrouler sévère. Un bel hôtel B.B tout juste refait nous attend pour prendre un repos après 360 km. Mais avant cela
nous ripaillons au Buffalo grill voisin où Bruno Simonot a la bonne idée de nous offrir l'apéro-kir.
 
Après une nuit calme et un bon petit-déjeuner, nous quittons la préfecture du Haut-Rhin pour nous rendre à Eguisheim, un des plus beaux villages de France. En effet la décoration des façades et le fleurissement des rues, nous incitent à parcourir le bourg pour profiter de ses richesses. C'était sans compter sur l'arrivée inopinée d'un car de Japonais prenant d'assaut la place centrale avec leur tablettes et portables ! Nous nous réfugions dans un troquet, alors que nos moitiés ont cédé à l'appel du Kouglof. Mais il est temps de rejoindre nos hôtes à Gueberschwihr en passant par les petites routes du vignoble. Clarisse Weck et son mari nous reçoivent chaleureusement, en nous faisant découvrir la chaîne de production des nombreux vins qu'ils n'ont de cesse d'améliorer après chaque cuvée. Une dégustation commence agrémentée de Bretzel et Kouglof sucré-salé offerts par les Lorin. Mais que la carte Weck est fournie : (Edelzwicker, Sylvaner, Chasselas, Pinot, Riesling, Muscat, Gewurztraminer, Crémant) nous enchaînons les gorgeons et les bons de commande se remplissent ! Merci Hubert pour la mise à disposition du coffre du 5008. A 12h30 nous rejoignons à pied le restaurant «La taverne médiévale» situé dans une ancienne cave de 1658, le cadre est superbe. La patronne est très accueillante mais nous devons nous mettre à l'eau pour le repas, car un sérieux retour nous attend pour 14h.
 
Munster, le col de la Schlucht, Gérardmer, voilà de quoi faire vrombir les 70 cv du DL. Sur un revêtement parfait les premiers ont déjà entrepris la montée, il s'agit de composer avec les voitures intercalées. Pendant que Pierre joue au yoyo, nous mettons du gros gaz vers le sommet. Je ne vois déjà plus le groupe des deux Bruno et la BMW de Régis, va falloir affûter les trajectoires pour les rattraper ! Après un regroupement, la descente sur le Syndicat est plus calme. A Remiremont chaque pilote a apprécié ce run Vosgien. Nous nous
rapprochons de Langres où un pot est prévu au centre ville, car tout le monde commence à ressentir la fatigue. D'après le road-book nous devons rentrer par Châtillon-sur-Seine, et c'est un excellent choix tant la route de Recey est agréable.
 
A Clerey c'est l'aurevoir vers 20h, chacun a la larme à l'oeil tellement ce fut une belle aventure d'amitié. 720 km parcourus au total, un budget plus que raisonnable en demi-pension, des paysages magnifiques, une ambiance au top.
 
Encore bravo aux organisateurs.
 
Thierry
Dimanche 19 août : ROGNY
 
Ce ne sont pas moins de 25 personnes (18 motos) qui se sont retrouvées au départ de la sortie de Pierre et Catherine, par un beau temps persistant.
 
A 9h tout le monde prend la rocade et la route de Chaource, où nous trouvons un peu de fraicheur en forêt. Direction Tonnerre et Vermenton, mais les déviations donnent du fil à retordre aux organisateurs. Nous arrivons cependant sans encombre, et sous un soleil déjà bien généreux à la guinguette de Mailly-La-Ville pour déguster un café-croissant-jus d’orange très sympathique. Après avoir pris des couleurs nous saisissons les guidons pour traverser la belle vallée de la Cure, et rejoindre Rogny les 7 écluses lieu de notre pique-nique.
 
Nous visitons à pied ce joli village et le site de ces écluses qui ont marqué le bourg au 19è siècle. Nous avons cependant le loisir de voir fonctionner celle du bas, que deux voiliers ont emprunté en aval et en amont.
Mais c’est déjà l’heure du retour par Aillant-sur-Tholon, Migennes, Brienon (pause au superbe lavoir), et St Florentin par la N77 jusqu’à Troyes sur un bon rythme sur ce parcours roulant. De fait c’est 310 km que nous avons parcourus par 32° au plus chaud de la journée, mais il va falloir s’y habituer paraît-il…
 
Encore bravo à Pierre et Catherine pour cette rando moto-vacances au bord de l’eau.
 
Thierry
Dimanche 15 juillet : Rando surprise
 

Notre président a eu la bonne idée d'une rando imprévue, cassant ainsi les codes du toujours tout annoncé.
De St Parres aux Tertres, 14 motos et 19 personnes avaient dit banco. Nous filons vers Géraudot par les petites routes, et passons prendre à la volée le vice-président.
A Ville sous la Ferté c'est le petit déjeuner qui nous est offert pour fêter la nouvelle D.L du boss. C'est une tradition que nous aimons bien dans le club. Le beau temps nous incite à flemmarder au pied du château de Rochefort sur Brevon. Puis nous rejoignons le lieu de pique-nique en pleine forêt de Châtillon sur Seine.
 
A 14h c'est la visite de l'abbaye du Val des Choues, majestueuse bâtisse occidentale ayant servi de base à une vie monastique très stricte au 13è siècle. Reconstruite au 17è, elle abrite un musée de la vènerie et des salles à thème. Dans les écuries la meute des 150 chiens de chasse à cours, a pris bruyamment la place des chevaux. Les jardins à la Française et un parc à cerfs et biches, côtoient un vivier piscicole.
 
Nous revenons par Vanvay, Brion, Essoyes, que des beaux virages sur des routes presque désertes avant Troyes. Au total 230 km et un retour avant 17h, pour voir la France triompher.
Bravo et merci à Urbain.
 
Thierry
Dimanche 24 juin : AIR et EAU de la Marne
 

Par une belle journée ensoleillée mais idéalement fraîche pour la pratique du deux roues, nous sommes 24 motos et 29 personnes à nous rendre à l'invitation de Titiss et Jean-Paul.
De St Parres direction Creney, Assencières, Ramerupt par de belles routes que nous pouvons encore prendre à 90.
 
Arrivés à l'auberge de la Pomme d'or où nous attend un excellent petit déjeuner maison. Nous repartons direction Châlons en Champagne avec un parking devant l'office du tourisme. Et là nous attendons pour embarquer sur une barge d'une dizaine de motards devenus marins. Un guide-pilote nous conte l'histoire de la ville au gré du circuit qui nous fait découvrir le château au marché, le cirque historique, le bastion et l'arche Mauvillain, le couvent Ste Marie, la collégiale notre dame en Vaux. Le tout par des souterrains illuminés de son et lumière, la classe !
 
Après cette sympathique balade nous reprenons la route de Recy pour nous rendre sur un plan d'eau privé agrémenté d'un bois et d'une tonnelle avec tables et chaises pour nous permettre de déjeuner confortablement.
 
Après ce pique-nique au top il est temps de nous rendre au musée d'aviation de Vraux, retraçant sur 5 salles 300 m2 de documents et objets de la période 39-45 et entre autre d'un avion MH1521 de 1959 construit à Reims. Cette association de passionnés nous a fait revivre les combats aériens qui eurent lieu en France en 1940.
 
Mais il est temps de reprendre la direction de Troyes après une journée vraiment relaxante et 225 kms au compteur, bravo à nos Marnais.
 
Thierry
Les caves de Coiffy (03/06/2018)
 

Jean-Pierre nous avait convié dès 7h15 (Dieu que c'est tôt) pour une virée de 350 km à travers la Haute-Marne qu'il connaît bien. 20 motos et une voiture soit 28 personnes avaient donc décidé de profiter de cette journée annoncée comme ensoleillée.
 
Nous prenons la nationale jusqu'à Nigloland, puis les départementales désertes en ce dimanche matin. Arrivés à Coiffy nous sommes accueillis par Mr Renaut, vigneron d'une cave familiale relancée en 1983. En effet au 19è siècle le Gamay était produit sur 300 ha, son savoir faire nous est expliqué avec passion. Puis vint enfin le temps de la dégustation, bien installés dans la salle à manger. Auxerrois, Chardonnay, rosé, les cépages se succèdent sous les papilles. Heureusement c'est l'heure du déjeuner pour remplir aussi les estomacs.
 
Il est temps de reprendre la route direction Chalindrey, Recey, Leuglay, que des belles courbes qui s'enfilent à bon rythme. Nous revenons sur le Barséquannais où nous faisons une pause désaltérante à Cunfin, le patron du café ouvrant spécialement pour nous (merci à la serveuse «Papat»).
Il suffit de rentrer tranquille par Fouchères, enfin presque car sur la route de Bourguignon notre trésorier en doublant une voiture est allé mesuré le fossé ! Plus de peur que de mal, et la preuve qu'une BM c'est du solide... Bruno, Papat et moi louperons de ce fait l'aurevoir à St Parres. Mais qu'importe bravo à J.P pour ce magnifique tracé, et cette visite enrichissante.
 
Thierry
L’Ascension à Renac (du 10 au 13/05/2018)
 
Puisque sans montures, c’est en voiture que nous avons eu le temps de prendre des notes.
Nous avons profité de notre frustration pour vous observer et noter jour après jour ce qui à
nos yeux fait le succès de ces quatre jours. Ne vous étonnez pas donc de retrouver, dans ce
compte-rendu, un style jovial anecdotique mais jamais moqueur.
Bref on s’est lâché !
 
Jeudi 10 mai 2018, 6 h 45, c’est tôt…
 
Une petite averse au lever pour faire peur, même pas peur ! On a bien eu raison puisque
au fi du temps ça s’améliorait. « Pourvu que ça dure ! » aurait dit la maman de Napoléon (vous
savez le fameux Briennois).
Constatation au départ : visiblement une épidémie frappe le club, épaule, cheville, cœur… Rodrigues as-tu du cœur ? Non il n’a pas pu venir, malade sans doute !
Donc, c’est accompagné du traditionnel et ô combien indispensable camion d’assistance, et de
deux voitures « sanitaires » (la prochaine fois on mettra des croix bleues sur les portières) que
nos 23 motos chevauchées de leurs pilotes et passagères s’élançaient vers ce traditionnel et attendu week-end de l’Ascension : direction Renac en Ile-et-Vilaine. Week-end qui fait depuis maintenant de nombreuses années le succès de notre association. En effet ce sont 37 personnes en
comptant les éclopés qui crient tous ensemble : « sus aux bretons !». Non, Jef, il n’y a pas de
faute à sus.
 
On prend l’autoroute, bon on n’aime pas trop, c’est monotone, mais ça va tellement plus vite ça
passe pour tout le monde sans trop de problème au péage malgré un petit moment d’angoisse.
Pause café à l’aire du Loiret où tout le monde se réchauff et fait le plein.
10h30, sortie de l’autoroute, nous sommes déjà à Château-Renault ! Arrêt pipi, ça fait du bien de
se dégourdir les jambes… On retrouve nos petites routes, le pays de Redon nous montre qu’il a
de superbes routes agrémentées de jolies maisons aux jardins impeccables.
 
Oh, oh, moins vite, on est sorti de l’autoroute, commencez donc à vous entraîner pour le futur 80
km / heure. 1 radar, 2 radars, 3 radars, ah ça fait chaud au cœur de retrouver nos bonnes vieilles
routes à fric. La campagne, du soleil, des petits villages, la route est bonne, même si elle est un
peu trop droite, vive la moto, la vie est belle !
Des champs bleus, késako ? Le réchauffment climatique, une centrale atomique, à la prochaine
étape, on demandera à Hubert, pourvu qu’il sache.
Petite route viroleuse comme dirait Thierry qui piaff au fond de sa caisse…
Tiens des vaches qui on vous le rappelle, ou pour ceux qui ne le savaient pas, sont les ancêtres
de la moto, si, si, regardez bien, il y a même un guidon !
Des maisons trop glo… troglau… troglodytes à Vouvray-sur-Loire, au lieu de rouler trop vite vous
les auriez vu !
 
Pierre et Catherine, passagère pour une fois, eux ont eu le temps de les voir ! Faut vous dire que
Pierre a eu l’idée de lui faire le coup de la « panne des sens » à Catherine, euh, d’essence…
efficacité de l’organisation, qui n’est plus à signaler, le jerrican de secours a été le bienvenu.
Le midi accueil à la supercafet « le Wif » où un espace nous était réservé, quelle belle surprise,
une cuisine « maison » doublée d’un service hors pair : une adresse à conseiller quand on sait
qu’Isabelle a négocié avec le patron pour 12 euros café compris, un record à battre ! C’est donc
unanimement que les membres du club ont salué, en sortant, le chef. Not’ Président a mis un
commentaire élogieux et « dithyrambique » (on aime bien ce mot, on ne sait pas ce que ça veut
dire, mais on l’aime bien quand même…) sur le livre d’or du restau.
En guise de digestif, Isa et Papat, nous offent une suite de petites départementales sinueuses
pas piquées des hannetons, propices à nous éviter l’endormissement à la suite de ce copieux
repas.
 
Tiens un château, c’est la vallée du Loir (ce petit animal qui s’endort en rond en se mettant le nez
dans le cul). Rigolez, rigolez, essayez vous verrez ce n’est pas facile !
Ah ! au fait les champs bleus de ce matin, c’était du lin, dixit Hubert grand spécialiste devant
l’éternel, quelle culture ! La prochaine fois que l’on s’achète une veste en lin, on la prends bleue,
c’est vraiment joli.
 
Petit arrêt essence / café prêt de Mac-do, du soleil, ça discute, ça discute, ça traîne un peu, bon
allez ! dernière ligne droite avant Renac par la 4 voies, ce n’est pas désagréable de rouler à 110…
En conclusion de cette première journée et ses 590 kms (ah oui quand même !), malgré la petite
alerte pluvieuse du départ, en définitive une journée plutôt dans l’ensemble ensoleillée et surtout
sèche permettant d’effectuer cette longue étape en toute sécurité. Des arrêts appropriés ont permis de faire plusieurs étapes afin de ménager les montures mais également, et surtout, de ne pas
finir trop meurtris par cette journée entière de motocyclettes à moteur. Nous découvrons un gîte
de pierre façon maison de druide avec des chambres bien aménagées bien qu’un peu rustiques
pour certaines, n’est ce pas Brigitte et Béa, heureusement que vos hommes étaient là pour vous
réchauffer !
 
Apéro, repas, puis vite fait dodo. Mais avant Bruno, acteur dans l’âme, a tenu à aider Pierre pour
que sa petite mésaventure ne se reproduise plus en lui offant un superbe paquet cadeau rose :
un réservoir annexe. Un discours travaillé avec tout le talent de conteur de l’ami Bruno, un bon
moment de convivialité. Pierre offrant ensuite au club ce réservoir annexe qui pourra dépanner
en cas d’autres mésaventures. L’organisation parfaite de Colette se met en place pour nous offrir
un menu complet, où chacun met la main à la pâte.
 
Vendredi 11 mai, deuxième jour du périple, le soleil est là.
 
Clin d’œil de Pierre qui, le matin, avec humour avait harnaché sur sa moto le jerrican offert
la veille. Il y a aussi des virages en Bretagne, la preuve nous empruntons de jolies petites routes
sinueuses et traversons des petits villages comme Rochefort classé plus beau village de France.
Stéphane Bern étant absent nous poursuivons…
 
La voiture (les caisseux se sont regroupés !) et le camion mené de main de maître par Adrien et
Virginie arrivent à suivre, « Nelly on te rappelle que tu n’es pas à moto ! ».
Arrêt café à la Roche-Bernard avant la grande foule ce qui nous permet de visiter ce port niché
au sein des terres. De vieux gréements (on ne parle pas de nos potes âgés…) nous ont permis
d’agrémenter notre balade sur les quais de ce lieu touristique. Nous voilà reparti pour Guérande,
une étape qui ne devrait pas manquer de sel ! Elle est facile mais on n’a pas pu résister !
Guérande : visite de la vieille ville qui affiche fièrement sa devise : « On a que deux vies et la
deuxième commence quand on se rend compte qu’on en a qu’une ! », mélange de Carcassonne
et de Aigues-Mortes, cette fois ci les touristes étaient levés, il y avait beaucoup de monde.
Direction Saint-Nazaire par le pont. Surprise concoctée par Isa et Papat, impressionnant et haut,
il domine les chantiers navals où on a pu voir un paquebot-hôtel en construction. Arrêt de l’autre
côté de l’estuaire avec vue sur le pont bien entendu, où la traditionnelle grande table est dressée pour le midi. On est toujours aussi admiratifs de cette organisation où nos cuisinières sont
capables de nourrir plus de 30 personnes, et surtout chaud, puisque « pâtes à la bolognaise »
étaient au menu. Le temps devient maussade mais n’altère en rien la bonne humeur de la troupe,
et c’est toujours admiratifs et éberlués de voir avec quelle rapidité que tout le matériel est remballé dans le camion.
 
Direction Couëron, pourquoi cette petite ville du bord de Loire ? Pour la « MEGA surprise »! Dorénavant tous les membres du club ont passé le Bac (une première pour certains) avec succès…
En effet pour rejoindre l’autre rive, les 21 motos, même le camion et la voiture sanitaire sont sur
le pont, c’est le dernier bac en activité affrété par le département et « cerise sur le gâteau », c’est
gratuit… Petite anecdote : Béa, malgré sa phobie des transports n’a pas traversé à la nage, félicitations ! Elle pouvait aussi marcher sur l’eau, mais bon quelqu’un l’a déjà fait il y a fort longtemps.
Lors du retour au bercail, Pascal et Chrystel se sont rentrés dedans, mais non en moto, c’est
dingue, vous ne pensez qu’à ça ! Soirée crêpe, c’est de circonstance. Thierry se lâche, peut être
le grand air, le cidre un peu fort cette année, la joie de savoir ouvrir des capsules de bouteille sans
décapsuleur, ou tout simplement l’ambiance ?
A cause du temps, n’oubliez pas que nous étions en Bretagne, c’est à l’intérieur de ce magnifiue
manoir dans une ambiance médiévale (la grande cheminée, les poutres, les vieilles pierres…)
que toute la joyeuse bande déguisée en marins, bretons, fées ou pirates s’est réunie. Séance
photos pour immortaliser ce moment et aussi pour faire baver ceux qui n’ont pas pu venir. Il faut
dire que certains avaient fait preuve de beaucoup d’imagination puisque Bécassine, deux bigoudens et même Obélix avaient honorés de leur présence cette soirée. Seul, le portugais de service
est resté égal à lui-même (à l’ouest) malgré les nombreux navigateurs qui ont illustré l’histoire du
Portugal.
 
Pour commencer et pour honorer Obélix et les deux Falbala, au sein de ce petit village gaulois
situé au Mont-Choisy, une potion magique (offrte par le couple Thiery, Régis et Jacques) a été
concoctée « la 125+ » et même parfois ++++++. La formule est secrète et la composition interdite
à la vente, d’après certains ça rendrait même aveugle, enfin c’était au Tonkin… Allez un indice y
a de la pomme ! si, si y en a…
Invité d’honneur de cette soirée : Babou, sœur de Papat (non mais, il en a combien ?) et ses deux
elfes (non ce n’est pas une marque de bière): Clara et Raphaël. Intégration réussie haut la main
et tous trois cooptés comme « renforts festifs » à l’unanimité. Il faut dire que dans cette petite
tribu il y a une mordue de nos fringants destriers en la jeune personne de Clara qui devient du fait
passagère de Jef, fougueux lui aussi, mais ça vous le saviez déjà.
 
Samedi 12 mai, bon on part, sauf que…
 
« J’ai oublié mes clefs, j’ai oublié mes clefs » un écho, non deux étourdis dont je tairai les noms,
on n’est pas là pour balancer. Allez je vous aide : ils logeaient tous les deux à Renac, donc un peu
plus loin… vous ne voyez toujours pas ? Deux indices : « Chantal »et « Marabout »…Toujours
pas trouvé ? Jef et Hubert, c’était facile pourtant !
Mince il pleut, c’est toujours embêtant pendant un week-end, la voiture va être sale ! On passe
l’école de Jacky : Saint-Cyr…
 
Arrêt café à Plélan-le-Grand. Cela n’était pas encore arrivé, et ben ça y est, les caisseux arrivent
les premiers pour le café ! A la suite d’un « bug », dans le principe de « j’attends mon suivant…»
pourtant, la veille au soir, not’ Président avait félicité le groupe pour le respect des attentes…
Ce matin y en a qu’avaient la tête en l’air, mais comme toujours, tout est bien qui finit bien, tout
le monde est retrouvé. N’empêche que les caisseux, eux, étaient les premiers, on dit ça, on dit
rien… Autrement que vous dire sur Plélan-le-Grand… ah si, jacky espère que la magnifiue serveuse est répertoriée au syndicat d’initiative !
 
Direction la Roche-aux-Fées où nous sommes attendus par Camille, guide. Très intéressante,
Bruno nous fait une remarque pertinente sur le rôle de l’agriculture, il nous épate et pour poursuivre sur sa lancée pose une question à la guide sur le nom des fées (peut-être les nôtres :
Béatrice, Brigitte et Frédérique ...) qui selon la légende auraient transporté les pierres. On tremble
en pensant tous à la veille au soir où il avait évoqué la « Fée… lation » et là ; ô surprise il se dégonfle et sort la « Fée… clochette), ouf on a eu chaud. La guide n’a pas tout compris, nous si !
Petit jeu de fin de visite traditionnel : compter les pierres. Les lauréats sont : Raphaël et Jacqueline, pas peu fiers, il y avait au moins deux intellos dans la bande… Au fait le bon chiffe c’est 42,
pas feignasses les fées !
 
Repas et traditionnelle grande tablée et sans monter le barnum : « pari risqué, pari osé, mais Paris libéré » merci le Grand Charles de ce bon mot. Repas qui impressionne toujours les badauds
de part notre organisation, nous allons visiter Vitré une jolie ville fortifiée.
Au retour sous la pluie, Hubert grand professionnel maintient son reportage dronastique… Du
nez, le bougre car au moment de fimer le soleil réapparait.
 
Dernier soir, dernière veillée, au revoir aux Nocus bis, bisous… et merci pour votre bonne humeur. L’orage terrible, nous fait apprécier le soir le repas chaud avec un kouign-amann offert par
Thierry et Patrick pour leur anniversaire, ils se sont vus remettre un bol Breton à leur prénom. Pas
de prolongation tout le monde au lit car demain c’est déjà le retour.
 
Dimanche 13 mai, matin du départ, il caille !
 
Toujours émerveillés de voir avec quelle rapidité tout est remballé. C’est l’occasion de dire un
grand merci à tous ceux qui participent tous les jours aux opérations d’intendance.
En selle, sous un ciel ensoleillé et de magnifiques paysages dans la brume, une pensée pour les
vaches qui doivent se geler les pis.
Premier arrêt : Champigne au bar à bières, calmez vous et restez raisonnables, ce sera café
chocolat !
 
Repas du midi, on finit les restes à Château-la-Vallière, face à une pizzéria. La pluie nous épargne
encore une fois, on ne monte toujours pas le barnum…
Dernière ligne droite l’autoroute, un petit arrêt pour se désaltérer et se dégourdir les jambes et
voilà nos 4 jours sont terminés. Ils laisseront un excellent souvenir dans la tête (et les cœurs) de
tout le monde. Nous arrivons à Troyes sous la pluie, même le temps est triste de la séparation.
 
Maintenant place aux remerciements : un super grand bravo au couple d’enfer « Isa & Papat »,
un lieu inédit, un manoir on ne nous l’avait jamais fait, une superbe région, de belles découvertes
comme le pont de Saint-Nazaire et surtout le passage du bac. Un gros boulot pour préparer ces
4 jours dans le moindre détail.
Un accessit d’honneur au team Adrien et ses deux co-pilotes Virginie et Chantal qui ont assurés,
toujours à l’heure aux rendez-vous et, c’est à noter toujours « dans un grand respect du code de
la route ! ». Examen d’entrée largement réussi avec mention, à l’année prochaine !
 
Un grand merci à tous
 
Les caisseux :
Jacky et Thierry
Epaulés de leurs secrétaires d’enfer : Frédérique et Nelly

Cynodrome de Soissons (15/04/2018)

 

Enfin le soleil !! De quoi motiver 26 membres du club (24 motos) pour aller

découvrir sur proposition de Pierre et Catherine le cynodrome de Soissons.

La fraîcheur matinale n’a pas eu raison de notre plaisir à parcourir les routes de

l’Aube ,de la Marne et de la Seine et Marne. Une pause à Rebais ou nous avons retrouvé

Jean-Paul au très rock’n roll coyote bar pour partager un café croissant en terrasse.

Nous poursuivons avec un passage par Ressons le long (petit plaisir des

organisateurs) et nous voilà arrivés .

 

Nous étions attendu, après avoir stationné les motos sur un emplacement qui nous

avait été réservé ,c’est parti pour une visite des lieux, la piste (en sable du mont St-Michel),

les distances parcourues, la vitesse de pointe (jusqu’à 78 km/h), les contrôles anti-dopage.

Nous apprenons énormément en bord de piste ou nous croisons un champion a quatre

pattes qui se laisse admirer et ne refuse pas les caresses.

Un passage à table et c’est déjà l’heure des courses, surprise ! La 2ème course est dite

prix du club moto rando, il n’en faut pas plus pour inciter certains motards à parier et à

gagner. Notre président remettra les coupes.

 

Une petite dernière , c’est un pitbull seul qui s’élance, il surprend mais ne démérite pas.

Pour nous c’est l’heure du retour , avec un au revoir au Pilaou et c’est déjà fini…

 

Une pensée pour Aline qui a terminé la sortie à l’hôpital de Meaux, pour faire suturer

une plaie suite à une chute.

« Ah c’est con que t’as pas pu venir !» (25/03/2018)

 

Après le rendez-vous manqué du week-end dernier (pour le tour en moto, pas pour le resto,

car ça a été plutôt sympathique), not’ Président a eu une idée lumineuse : remettre ça le dimanche

suivant (on n’allait pas rester sur un échec).

Une chevauchée d’entraînement pour les futurs 4 jours de l’Ascension mais aussi et surtout le besoin

express de retrouver nos chères montures. Je ne sais pas vous, mais nous dans le garage ça

ronchonnait, ça râlait, ça tapait de la béquille, elles piaffaient les bougresses de re-fouler le bitume…

Bon, rendez-vous à 8h45 pour un départ à 9 heures, c’était raisonnable pour ce week-end de

changement d’heure.

 

Après une petite mise en bouche d’une soixante-dizaine  de kilomètres à travers la forêt de

Chaource, première pause café à Ancy-le- Franc au bar du Château que nous connaissons bien

puisque, dès que nous rodons dans le coin, c’est notre halte préférée. Toujours aussi bien accueillis

par Valérie, petits chocolats, brioches, cadeaux publicitaires… de vrais «coqs en plâtre» comme dirait

Coluche (putain de camion). En parlant d’humour, Régis au plus fort de sa forme et apte à faire

perdurer l’humour de motard nous sort, comme ça, à brûle pourpoint : «quand t’es jeune, t’as une

bécane, quand t’es vieux t’as une bi-cannes». En forme le Régis dès le matin !

 

Ah, j’oubliais, avant d’arriver à Avallon, on est passé par Montréal. Non, non je n’ai rien

fumé, sauf que «tabernacle», y avait pas un centimètre de neige, pas un caribou et encore moins de

moto neige… Cherchez pas, c’est encore la faute au réchauffement climatique…

Bon on ne va pas s’installer chez Valérie, malgré qu’on y soit très bien, faudrait voir à rouler un

peu……… pour ……… aller manger ! Donc direction Avallon avec un lumineux rayon de soleil. A peine

arrivés l’humour motard ressurgit dans la bouche de Jef : en devanture de la cafétéria grosse promo

pour le couscous. Je cite Jef, attention, bouchez les oreilles des enfants : «Je préfère que ce soit du

couscous, car j’avais peur qu’à Avallon ce soit de la purée».

 

Ah ben vous êtes dans un club de motards. Nous les anciens nous sommes vaccinés, mais

pour les nouveaux va falloir vous y habituer.

Une grande table nous était réservée. Eh, Président c’est quoi le programme de cet après-

midi ? « Je passerais bien par la vallée du Cousin». Bon, si c’est de sa famille, allons-y…

Malgré qu’on connaissait déjà, on ne se lasse pas de ce superbe coin, vert, bucolique, surtout

les fossés (hein Régis ! habile le bougre avec son Africa).

 

Puis retour un peu plus nerveux vers Troyes par Tonnerre et Chaource afin de boucler la

boucle. Beaucoup de lignes droites mais dès que des virages étaient signalés, on sentait bien que les

sensations revenaient. Si vous croyez qu’on ne vous voit pas ralentir avant les virages pour ensuite

accélérer. Ce n’est pas aux vieux motards (que j’aimais) qu’on va apprendre à faire la glissade !

Troyes arrive vite (trop vite), quelques courbatures, elles vont vite disparaître après quelques

sorties. L’arrêt traditionnel à Buchères pour se dire au revoir et à la prochaine occasion d’être entre

amies et amis pour partager notre passion.

C'est la reprise ... (18/03/2018)

 

Comme traditionnellement, c’est par une première petite randonnée de remise en selle

concoctée par Jean-Régis et Véro, et un repas convivial au restaurant, que devait débuter cette

nouvelle année 2018 de notre club.

Mais le temps en avait décidé autrement et c’est comme « caisseux » qu’une vingtaine de

nos membres se sont retrouvés, abandonnant lâchement leurs montures, après cette longue trêve

hivernale.

 

Mais tout d’abord, c’est sur la tombe de notre cher Dédé que, accompagnés de Patou son

épouse, nous sommes allés déposer une fleur et nous souvenir de ce bon ami, camarade de route et

de bonne humeur, qui nous a accompagné pendant de nombreuses années. Après quelques mots

prononcés par notre président Urbain qui a tenu à rappeler que malgré le temps qui passe, Dédé est

toujours dans nos esprits et que nous ne voulons pas l’oublier. Il a assuré également Patou de tout

notre soutien et l’a remercié de continuer à accepter de nous compter tous au sein de ses amis.

 

Après ce triste moment de recueillement et de souvenir, c’est au restaurant «Au coup de

fourchette» à Verrières accueillis par Christophe et son épouse que nous nous sommes retrouvés

pour déjeuner. Blagues et anecdotes ont vite égayés ce moment de retrouvailles. Seules nos

machines restées au chaud se morfondaient et étaient frustrées de cette journée d’hiver.

C’est pourquoi dès dimanche prochain, le président envisageait de proposer au bureau de

conjurer le mauvais sort en repoussant cette sortie, tout en espérant que cette fois la météo ait pitié

de motardes et motards sevrés de kilomètres et de camaraderie.

AG 2018

Réunion de bureau (26/01/2018)

 

10 personnes chez Les Lejeune que nous remercions de l'accueil (Patou est excusée).

Jacky et Hubert proposent une nouvelle organisation du club pour soulager Urbain au poste de président,

avant sa démission en 2019.

Cette organisation sera présenté et soumise à validation lors de l'assemblée générale du club.

Une nouvelle réunion est prévue le samedi 7 avril à 17h, qui aura lieu chez le secrétaire.

Notre assemblée générale (03/02/2018)

 

Une salle bien remplie accueille l'ouverture de cette séance d'assemblée.

Le président expose aux 50 adhérents présents, le rapport moral et financier qui est voté à l'unanimité.

Stéphane Lorin intègre le bureau, qui se représente dans sa globalité et est adoptée.

La cotisation demeure à 38 €, un barnum a été acheté pour 2018.

Un placard est en prévision au club house, sous la responsabilité de Papat.

Suite au retour d'Urbain concernant la surcharge de travail engendré par le poste de président au sein du club, il a suggéré aux membres du bureau  sa démission pour l'année 2019.

En réponse à cela une nouvelle organisation est mise en place dès ce début d'exercice (voir organigramme) pour le soulager et permettre de poursuivre son rôle de président sans tout ces désagréments. Elle est adoptée à la majorité.

10000 Troyes Aube

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